OuPeinPo
01/05/2023
26/06/2021
Aplatissement d’une chaîne de montagnes à la manière de Jack Vanarsky.
Grâce à la technique mise au point http://jackvanarsky.fr/oupeinpo6.html et théorisée
http://jackvanarsky.fr/contraintes.html par Vanarsky, on peut aplatir ou redresser tout ce qui dépasse.
En voici deux exemples .
06/06/2021
L'ANAPICTE
PORTRAIT ANAPICTIQUE DE PAUL FOURNEL
L’ANAPICTE, en référence à l’anagramme, est une nouvelle contrainte oupeinpienne de la famille des MULTIPLICATEURS DE LECTURE, qui consiste à styliser puis «séquencer » une image en n segments (ici 30) que l’on recombine de façon à obtenir une autre image (ou plusieurs, le TANGRAM, avec ses possibilités illimitées, apparaissant alors comme une sorte d’horizon indépassable de l’art de l’anapicte)
30/05/2020
25/04/2020
24/02/2020
08/12/2019
02/12/2019
UN LIVRE D'ART POUR OLIVIER O. OLIVIER
Des textes de Philippe Garnier, de Sarah Olivier et d'Olivier lui même accompagnent de nombreuses et superbes reproductions.
L'apport d'Olivier à l'oupeinpo ne se limite pas à la Pictée qu'il inventa; outre ses paysages tournoyants, qui firent l'objet d'un précédent article de ce blog ( Déplacement du support au cours de la copie), il reste des pistes ouvertes par lui, que l'oupeinpien du futur serait bien inspiré d'explorer: les vases dont les fleurs sont remplacées par des sardines ou des calamars, les natures mortes aux fruits empilés, ou encore les éléphants démembrés vont au delà du surréalisme subjectif et taquinent subtilement l'idée de contrainte.
07/05/2019
02/12/2018
04/02/2018
Les Cent Fleurs de l'Oupeinpo
Les Cent
Fleurs
Jacques Carelman et l’Oupeinpo
« Que cent
fleurs s’épanouissent ! que cent écoles de pensée surgissent ! »
avait ordonné le Grand Timonier à quelques centaines de millions de Chinois.
Plus modeste, l’Oupeinpo dit aux artistes (nettement moins nombreux que les
Fils du Ciel !) : « Que cent écoles d’art
fleurissent ! »
Ainsi, tel
l’astronome Le Verrier prouvant par la seule puissance de son raisonnement et
de ses calculs, l’existence de la planète Neptune, jusque-là inconnue,
l’Oupeinpo a découvert une centaine d’écoles d’art inédites.
Fait unique dans
l’histoire de l’art, l’Oupeinpo a nommé et décrit les caractéristiques de ces
cent écoles avant qu’elles ne fassent leur apparition !
Lorsqu’on songe
que les dénominations de certaines écoles du passé comme l’impressionnisme, le
fauvisme ou le cubisme sont nées des sarcasmes et des lazzis de leurs
détracteurs ou de la boutade d’un critique, on est frappé par la rigueur
scientifique de l’Oupeinpo qui a abouti, après plus de deux ans de recherches,
à la découverte d’idées artistiques totalement inconnues, et à leur
dénomination parfaite.
La méthode
utilisée pour révéler ce bouquet unique a été la confection d’un tableau de dix
cases sur dix.
Cinq parmi les
principaux éléments constitutifs d’une œuvre d’art plastique : le support,
le matériau, le graphisme, le volume, la couleur, et cinq opérations
mathématiques ou autres choisies parmi une infinité : la symétrie,
l’addition, la soustraction, la tangence, le mouvement, ont été placés à la
suite les uns des autres en abscisse et en ordonnée. Il suffisait alors de lire
la case correspondant au croisement des lignes et des colonnes pour trouver une
école nouvelle rigoureusement nommée, comme par exemple le
chromo-additionnisme, le tango-cinétisme ou le symétro-graphisme (qu’il ne faut
surtout pas confondre avec le grapho-symétrisme !)
La tendance ou
la profession de foi de chaque école est alors limpide : les
chromo-additionnistes additionnent des couleurs, les tango-cinétistes ne rêvent
que de faire mouvoir les tangences, les symétrographistes savent qu’il n’y a
d’art que dans l’acte de dessiner des symétries (tandis que les
grapho-symétristes tiennent pour l’acte de symétriser des graphismes…).
Ces différentes
écoles se sont révélées, comme celles de l’histoire de l’art traditionnelle,
d’un intérêt très variable, tantôt très riches, tantôt franchement banales ou
médiocres, tantôt impossibles ou relevant du pur imaginaire, mais toujours
chargées d’une grande potentialité.
21/11/2017
Tristan Bastit
Tristan Bastit vient de nous quitter.
Depuis 2011 cependant, il s'était éloigné de nous et ne participait plus à nos réunions et manifestations.
Il était entré à l'oupeinpo en 1985, et y avait déployé une vaste fécondité, bien perceptible
dans l’ouvrage collectif Du potentiel dans l’art (Seuil,
2005 v.) mais aussi dans le bulletin mensuel des Séances de
l’Oupeinpo qu’il publia du 12 octobre 1997 au 10 juin 2000 .
Depuis 2011 cependant, il s'était éloigné de nous et ne participait plus à nos réunions et manifestations.
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Croix rouge , (avec Philippe de Champaigne) est un exemple de "Déchirement" ,'une contrainte que Tristan avait théorisée en 1998 |
05/06/2017
Le Morpion Pictural d'Argentat
( Images de la vidéo Sylvain Golvet )
04/06/2017
17/05/2017
15/10/2016
11/05/2016
14/01/2016
Un plagiaire par anticipation : Kuniyoshi
L’exposition consacrée
à Kuniyoshi Utagawa au Petit Palais n’a pas seulement révélé à
un vaste public, dont votre serviteur, l’œuvre d’un maître
moins vu par ici que Utamaro ou Hokusaï, elle a aussi démontré que
ce démon de l’invention graphique avait intégré l’oupeinpisme
à son gigantesque travail (près de 12 000 estampes).
Assez traditionnels sont
les têtes – ou les crânes dans l’estampe jointe – composés
de corps ou d’autres formes – ici, des chats. Arcimboldo
utilisait des fruits, des légumes et autres.
>
Kuniyoshi : Gosuke
Nozarashi, de la
série « Les marques d’identification : la mode signée
Kuniyoshi », vers 1845, 39 × 26,5 cm.
Connus également comme
jeu graphique sont les compositions où des corps sont munis de
membres multivalents, servant à plusieurs corps. Claude Berge nous
en avait montré des exemples européens, dans les débuts de
l’Oupeinpo.
>
Kuniyoshi : Quatorze
corps qui en paraissent trente-cinq : tissu imprimé à vous
empêcher de fermer l’œil,
vers 1842, 26,5 × 39 cm.
Plus rares, me
semble-t-il, sont ces figures dont l’ombre dessine une tout autre
image. C’est certes le principe des ombres chinoises, mais il est
ici utilisé avec une haute virtuosité et l’on peut,
oupeinpiennement, en imaginer un usage multiplié : la même
ombre pourrait être celle de toute une série de figures homologues.
On aurait alors affaire, au plein sens du terme, à un multiplicateur
de lecture.
>
Kuniyoshi : Benkei
et bouffon, de la
série « Jeux d’ombres », vers 1848, deux fois 39 ×
26,5 cm.
>
Kuniyoshi : Pêcheur,
crevette et coque,
de la série « Jeux d’ombres », vers 1848, deux fois 39
× 26,5 cm.
Thieri Foulc
07/11/2015
13/09/2015
UN SITE POUR L'OUPEINPO
Nous avons le plaisir de vous faire part de la naissance d'un nouveau site pour l'oupeinpo.
Pas bien gros pour l'instant, mais bien formé et plein de promesses ...
23/12/2014
06/12/2014
12/11/2014
26/06/2014
Expo Brian Reffin Smith "Zombie 'Pataphysics and Trains Why Not" à Berlin 13 Juin - 31 Juillet 2014
08/06/2014
A propos de Jean Dewasne, une lettre de Thieri Foulc
>Chers Oupeintres,
Il y avait donc conférence sur l'Oupeinpo au musée Matisse du
Cateau-Cambrésis, mercredi dernier 28 mai. J'y fus. La conférencière,
Anne-Maya Guérin, avait bien travaillé. Elle parla une heure et demie;
encore avait-elle abrégé son exposé pour ménager une place à mes propos.
Après une présentation de l'Oulipo, destinée à brosser le fond du
tableau et à y silhouetter le personnage-dénominateur commun, François
Le Lionnais, elle se lança bravement dans l'étude de nos inventions en
suivant notre livre, Du potentiel dans l'art, dont elle projeta
maintes images illustrant autant de contraintes. Comme le contexte
était l'exposition Jean Dewasne, en cours au musée jusqu'au 9 juin, elle
décrivit toutes les contributions de Jean aux contraintes
oupeinpiennes, du moins celles qui sont publiées dans l'ouvrage, les
Dominos colorés, le Lipopicte de la Grande Arche. Les autres projections
commentées constituaient un choix excellemment représentatif. Mon
intervention a surtout consisté à rappeler le souvenir vivant de Jean,
sa participation à l'Oupeinpo, à l'appel de FLL, dès janvier 1981, à la
première séance régulière après la fondation, ses inventions non
publiées (la peinture sur gaz) ou les opinions rigoureuses qu'il
proférait de sa voix toute en douceur. Comme la salle est belle et bien
équipée, les projections étaient de format majuscule. Ça lui aurait plu.
Je l'entends encore dire : "Je ne suis pas content" lorsque, en vue
d'une présentation au Centre Pompidou, l'un d'entre nous avait voulu
réduire le format des projections. Lui préférait leur donner l'impact
maximal quitte à ce que certaines images soient coupées; nous avons
immédiatement obtempéré, heureusement. Je ne sais trop ce que le public
catésien a retenu. J'ai ouï un commentaire affirmant que nous nous
serions bien entendus avec l'écrivain "fantaisiste" Erik Orsenna (?). Mais la conférencière avait intégré, quant à elle, le sérieux pataphysique de nos travaux.
Dans le musée, l'exposition est de toute beauté. Elle réunit
plusieurs œuvres majeures, issues de la donation faite par Mythia à
l'État. On y voit notamment les quatre panneaux-maquettes pour les
Murales de la Grande Arche de la Défense (dont deux seulement furent
réalisées), l'Habitacle rouge et maintes Antisculptures, plusieurs
panneaux originaux de la Longue Marche (qui faisait près de 100 mètres
de long) accompagnés de la suite complète en sérigraphie, bref un
ensemble saisissant que complète un impressionnant catalogue (éditions
Somogy, 39 €). En outre, j'ai acquis un livre posthume réunissant ses
écrits théoriques : Traité d'une peinture plane et autres écrits,
présenté par Gérard Denizeau (Minerve, 2007). Cet ouvrage ignore les
contributions oupeinpiennes de Jean, mais il n'en va pas de même du
catalogue, établi par Patrice Deparpe, qui signale les deux plaquettes
publiées dans la Bibliothèque oupeinpienne. J'en ai d'ailleurs offert un
exemplaire au musée.
Notez que cette exposition sera complétée par une autre, à partir du 27 juin à Cambrai, avec des gouaches et des dessins, et une troisième en octobre à Dunkerque.
À vous,
ThF
19/05/2014
EXPOSITION DEWASNE et CONFERENCE L'OULIPO ET L'OUPEINPO
DEWASNE, la couleur construite - De l’Antisculpture à l’architecture
Du 22 mars au 9 juin 2014 au Musée Matisse du Cateau-Cambrésis-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
L’Ouvroir de Littérature Potentielle (OuLiPo) et l'ouvroir de Peinture Potentielle (OuPeinPo),
par Anne-Maya Guérin, historienne de l’art
Mercredi 28 mai 2014
par Anne-Maya Guérin, historienne de l’art
Mercredi 28 mai 2014
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Plus d'infos ici
27/04/2014
Portraits d’Oulipiens
Dans le décor de son exposition
Portraits d’Oulipiens
l’Ouvroir de Peinture Potentielle
vous convie
à quelques exercices oupeinpiens tels que la Pictée et le Pushy-poulies,
non moins qu’à une causerie introductive de Thieri Foulc
le vendredi 16 mai 2014 à 19 heures
Exposition du 29 avril au 17 mai
Travaux de Achyap, Thieri Foulc, Philippe Mouchès, George Orrimbe,
Éric Rutten, Brian Reffin Smith, André Stas, Jack Vanarsky
Médiathèque Gérard Billy
10 allée Vieille-et-Gentil, Lagny-sur-Marne
Pour se rendre
à la médiathèque de Lagny-sur-Marne
En 20 minutes par le train :
De Paris gare de l’Est, train transilien direction Meaux, descendre à Lagny-Thorigny. Départ
toutes les demi-heures à 01’ et 31’.
Puis 8 minutes à pied, toujours tout droit depuis la gare : passer entre une librairie et un café,
traverser le pont, remonter la rue piétonnière, traverser la place de la Fontaine, longer les
halles, monter l’escalier, la médiathèque est à droite, avec son armature rouge.
Retour par le train également toutes les demi-heures, à 03’ et 33’ jusqu’à 23 h 33.
En voiture (environ 30 kilomètres) :
Sortir de Paris par l’autoroute de l’Est (A4) en direction de Troyes/Metz/Marne-la-Vallée/Nancy :
21,6 km
Prendre la sortie A104 en direction de Lille/aéroport Charles-de-Gaulle/Lagny-sur-Marne/
Collégien-centre : 4,8 km
Prendre la sortie en direction de N34/Marne-la-Vallée/Val de Lagny/Lagny-sur-Marne : 450 m
Continuer sur D934. Prendre D10 en direction de Lagny-sur-Marne : 3,4 km
Rejoindre D934 : 2,0 km
Prendre la sortie en direction de Val-de-Bussy/Lagny-sur-Marne-Centre : 350 m
Prendre à gauche la rue Léo Gausson/D10. Continuer de suivre D10 : 900 m
Continuer sur la rue Saint-Laurent : 75 m
Prendre à gauche l’allée Vieille-et-Gentil. La médiathèque se trouvera sur la droite : 66 m
Médiat hèque Gérard Billy
10 allée Vieille-et-Gentil
77400 Lagny-sur-Marne
tél. 01 60 07 62 40
Exposition dans le cadre de la résidence d’Olivier Salon en Marne-et-Gondoire,
avec le soutien du Conseil régional d’Île-de-France et du Conseil général de Seine-et-Marne,
dans le cadre du programme des résidences en Île-de-France.
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